samedi 19 juin 2010

Samedi 19 juin 19h

Mailaustausch mit einem Doktoranden
(um die Anonymität zu wahren, veröffentliche ich nur meine Antworten, aber nicht die Fragen und Gedanken des Doktoranden)

Zum Verhältnis der 'Theorie der Momente' und dem ethodischen Vorgehen in einer im qualitativ-interpretativ arbeiten Paradigma einer Promotion:
Das eine ist und bleibt Dein theoretischer Ansatz, das andere ist Dein methodisches Vorgehen IN DER Erkenntnisgewinnung. Du verfolgst in Deinem derzeitigen methodischen Vorgehen einen nominalistisch-deduktiven Ansatz. Er ist dem Forschungsbjekt nicht methdologisch angegmessen. Bei Dir läuft es de facto über "groundes theory", "abduction", "transduction"…
Deshalb m.E. auch Deine Schreibhemmungen. Du willst erst mal die Theorie draufhaben, dann Interpretieren, anstatt SOFORT zu interpretieren, beim Interpretieren auch gleich die Grenzen sehen und damit die Thoerie (der Momente) weiterentwickeln, auf Deine Empirie zuschneiden.

Mögliche Lekture-Empfehlungen, wie mensch methodisch vorgehen kann: Lies mal die Habil -Schrift (Manuskriptfassung) von E. O. Graf. Ich finde sie genial! (Anmerkung: Für eine Diss. fehlt es natürlich in dieser Arbeit etwas an ausführlichen Fallbeispielen. Aber die Arbeit zeigt in die richtige Richtung. (NB: G W. wird diese Habil-Schrift nicht sehr mögen… aber sie wird hoffentlich doch angenommen.)

Weitere mögliche Lektüre eines konstruktivistischen Ansatzes: Uli Graf: "Das Autopoiesis-Konzept im Radikalen Konstruktivismus - Diskussion theoretischer Variationen an einem Fallbeispiel in der sozialpädagogischen Beratungspraxis." In Das gepfefferte Ferkel - Online-Journal für systemisches Denken und Handeln, Aachen, Mai 2006.

Samedi 19 juin 17h

Septimana horribilis
A la fin de la semaine, les déboires administratives paraissent, somme toute, anecdotiques. N'empêche, ils sont l'analyseur d'un fonctionnement typique de l'institution. Cela advient à chaque fois
• que les membres de l'institution ne la "pensent" pas, mais subissent son action,
• lorsqu'il y a absence de réflexion, de régulation, de stratégie de supervision, etc. face à cette institution,
• lorsqu'il l’institué n'est pas modifi, mise en question par l’action régulière de l'instituant,
• lorsqu'il y a absence d'un processus de (nouvelle) institutionnalisation.
Il ne s'agit donc pas d'individus qui, au sein d'une institution, seraient particulièrement "méchants", etc., mais bien du fonctionnement classique d'une institution bureaucratique.
Cette brève analyse n'enlève rien au facteur psychologique : une telle institution est dévoreuse en énergie et en temps ; elle détériore le climat de travail, empêche à ce qu'on consacre à des tâches plus essentielles.

Les seuls moments de réflexion, cette semaine, ont été l'écriture d'un long rapport de HDR et l'échange avec un thésard sur la méthodologie. – Le reste du travail administratif "normal" (voir mon commentaire il y a qq. jours) attend toujours son exécution…